Un pare li explica al seu fill que l'art del te és una música d'aigua.
D'abord, il y a la musique de la pluie sur les feuilles des théiers, ce léger tremblement comme un tambour de lumière verte frappé par les baguettes d'argent du ciel. Puis il y a la musique de la récolte, accompagnée par la danse des voiles des cueilleuses. Ensuite, il y a la musique d'une source aussi fraîche et pure que possible. Enfin, la musique de l'eau chaude qu'on verse lentement sur les feuilles de thé.Opium, de Maxence Fermine. Le Livre de Poche. Éditions Albin Michel 2002.
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